À l’origine du boudin blanc, une tradition datant du Moyen-Âge où il était coutume de commencer le réveillon de Noël par une bouillie composée de lait, de mie, de graisse et de fécule servie chaude.
Il faudra attendre le XVIIè siècle pour que le boudin blanc prenne sa forme si caractéristique, lorsqu’un cuisinier eu l’idée de servir cette préparation dans un boyau de porc, afin de la rendre plus présentable et digne des tables fortunées.
Traditionnellement dégusté au moment des fêtes, le boudin blanc s’associe toujours aujourd’hui à des produits nobles tels que le foie gras, la truffe ou la noix de St Jacques.
Un savoir-faire charcutier ancestral que Bahier décline toujours aujourd’hui.